Il était une fois une déesse. Elle se nommait Elve. Et elle fonda ce royaume qui sombra dans une guerre éternelle...
 
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 Une petite fic

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MessageSujet: Une petite fic   Une petite fic EmptyVen 28 Juin - 22:33

Il etait seul dans cette espece de cage qui lui servait de cellule. Il etait etrangement docile, suivant les gardes qui passaient de son unique oeil gris acier. Les geoles de Tergalia n'etaient pas connues pour etre les plus joyeuses ni les mieux entretenues. Mais ce prisonnier la ne s'etait pas debattu quand on l'avait dessaoulé, trouvé ivre mort sur la voie publique. Une fois son alcool cuvé il etait resté calme, silenceux, comme si rien n'avait de prise sur lui. Et rien n'avait de prise sur lui. Ni les regards des autres prisonniers. Ni les remarques des visiteurs. Ni les boutades des gardes. Personne ne connaissait son nom. Personne ne savais d'ou il etait. On le surnommait "le rouquin" a cause de la couleur de sa criniere de feu mais c'est tout. Il etait assez charismatique, ses vetements, meme usées et sales lui donnaient un aspect noble. Il semblait n'etre pas le genre d'homme a se saouler pour oublier, se liberer de la durete de la vie. Il allait etre liberé dans la soiré et n'avait pas dit un mot pendant les trois jours passés dans sa cellule. Il ne disait rien mais il lui arrivait de chanter. Il chantait parfoit une sourde melopée de sa voix rauque et profonde. On se demandait si il n'etait pas fou. Le geolier Gordon se presenta a lui pour le sortir. Mais ils ne pouvaoent pas le laisser partir. Ils devaient avoir ne serai ce qu'un nom, la moindre trace de l'identitée de ce prisonnier. Lorsqu'il ouvrit ladite cellule, "le rouquin" etait allongé sur le dos, fixant le plafond de son unique oeil libre, psamolidiant toujours la meme melopée, la meme chanson. Gordon tendit l'oreille pour saisir les paroles, dans un elan de curiosité.

"...Vers les sombres cimes de l'Hypérion
Se dressaient les héros, aureolés du divin
Fiers, ils attendaient leur redemption
Pour enfin contempler la face d'or des séraphins

Le lac des reves leur tendait les bras,
Brillant de la force de l'esperance
Mais seul le plus courageux s'y trempa
N'ayant pas peur de la terrible sentence

Mais tous furent frappés, lui seul fut epargné
Et le teméraire hurla aux dieux cruels
Quelle fut sa douleur, ses espoirs brisés
Alors ils placerent en lui une marque eternelle

Leur puissance insidieuse s'infiltra en lui
Et le héros au coeur pur bascula dans l'oubli
Tant de risques pris, tant de champs de bataille
Pour que le prestige amassé s'en aille

Et la puissance corrompit son coeur d'or pur
Dans le ciel les anges se turent
Pour admirer l'avenement du démon,
Qui avait fait de cette force sa prison..." 

C'etait une très vielle légende qu'il avait entendu une fois. Une antique legende que les elfes du Haut Faënor lui avaient soufflé. La légende du premier des Princes des Tenebres. Ce genre d histoire etaient un tabou sur les Terres de la Confrerie  d'Haltaros. Que celui qui les mentionnait etait humain, elfe, nain ou autre il etait automatiquement envoyé aux hautes instances. On disait que ca appelle les mauvais esprits, les attirent vers notre monde. Les mauvais esprit etaient craints, on en disait qu'ils etaient aussi forts que les lyaderens. Peut etre meme plus. Un lyaderen etait un élu des dieux qui suvait une formation de mage-guerrier depuis son plus jeune age. Retenant ses pensées de vagabonder plus loin Gordon intima au prisonnier de se taire et ouvrit la porte de sa cellule. Il le fixa dans les yeux tandis que celui ci se relevais. Quand il fut sorti le jeune garde lui lanca :

- Vous ne devez pas etre d'ici pour ignorer que chanter de telles choses est interdit ici.

Pour la première fois l'homme sourit, semblant remprendre vie. Il adopta une atitude enfantine et parlait d'une voix moins grave que lorsqu'il chantait, lui retirant cet aspect mystique qu 'il avait developpé durant sa captivité. 

- Oh excusez moi.. Il est vrai que je viens de loin et je ne connais pas tres bien les us et coutumes de ce pays. Au fait je ne vous l'ai pas dit mais je me prenomme Stanford. Stanford Märchen plus precisement... 

Le geolier fut abasourdit de l'entendre enfin parler. Cet etre que ne semblait pas appartenir a ce monde un instant plus tot par ses chants terribles et son mutisme spectral etait redevenu un simple mortel comme tant d'autre. Gordon notait un accent dans sa manière de prononcer les mots, pas disgracieux mais remarquable. Ce nom qu'il avait annonce ne lui disait rien, Gordon se promit de le noter a son retour au poste pour son rappport. Il n'en eut pas l'occasion. Il sentit juste quelque chose de loud lui frapper l'arriere du crane et il tomba au sol, oubliant ce drole de prisonnier, son nom, toute cette aventure...

*****

Un vent de panique soufflait entre les murs de Tergalia. La cité-forte, dernier rempart de la Confrerie d'Haltaros avant les Monts d'Obsidienne, etait agitée par une rumeur terrible, présage de destuction. Les templiers du Styx etaient la charriant avec eux les relents fetides de la mort. On les aurait apercu pas loin des remparts exterieurs, menant le chaos, commandant aux démons mineurs. ils etaient sans foi ni loi, personne ne savaient ce qu'ils voulaient vraiment et quand bien même on saurait, quelle importance..? 

Les commercant en parlaient entre eux a voix basse. La vielle Jo' avait ete tuée il n'y a pas longtemps. Si ca se trouve elle a été offerte en sacrifice a un seigneur des tenebres. Tout le monde connaissait la vielle Jo', cette catin qui avait toujours trop voulu chercher l'aventure. et elle l'avait eu son aventure, eventrée qu'on l'avait trouvée ! Chacun esperait qu'ils ne lui arrive pas la meme chose. Tergalia n'etait pas la cité-forte la plus sure, loin s'en fallait, mais au bout d'un moment tout le monde finissait pas connaitre tout le monde et la criminalite ne representait plus que des cas isolés. Bien sur il y avait toujours les pillards et autres tires bourses,mais quand on etaity du coin n'importe qui pouvait s'en tirer a bon compte. Quand on etait du coin... Maryse, tenancière pensait a cela justement. Elle se disait que ce n'était pas le cas de son dernier client, avec son accent etrange. Un frele bonhome qu'elle avait a peine regardé en lavant son comptoir. Celui ci souriant etrangement...
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MessageSujet: Re: Une petite fic   Une petite fic EmptySam 29 Juin - 12:25

L'auberge avait comme enseigne un ouroboros d'argent. Elle s'appellait l'auberge de l'infini. Maryse n'avait jamais beaucoup de clients mais elle voulais garder cet etablissment qu'elle tenait de son père qui le tenait de son père... Ce nom et cet enseigne venaient d'une vielle legende de famille. Un jour une chamane avait prédit a Luciel l'un de ses ancetres, que s'il ommait ainsi son auberge ses descedant seraient protéges des guerres et des assassinats. Maryse avait toutes les raisons de penser que la chamane avait eu raison mais ils ne vivaient pas non plus dans la properité. Elle était jolie fille a 24, mais ses traits tirés par la fatigue due au travail ereintant gachaient cette beauté et elle craignait de devoir rester seule toute sa vie. Cet etranger n'etait pas son seul client mais c'etait celui qui paraissait le plus fortuné et elle lui accordait une attention toute particulière. Elle connaissait son image par coeur a force de le regarder. Elle etait intriguée par cet être qui dégageait une aura si impressionnante, si déroutante. Il était de constitution fragile, trop maigre pour etre un vrai noble, trop fin, trop peu musclé pour être un vrai guerrier. Il avait un visage emaciés aux traits abupts, un seul de ses yeux gris etait visible, un bandeau blanc etait passé a la place qu'aurait du occuper l'autre. Il portait un petit bouc pointu allant pas plus loin que son menton, cela se voyais qu'il entretenait son allure, se rasant avec application pour conserver cela. Le plus remarquable chez cette personne étaient sans doute ses cheveux, une vraie cascade de feu, plus rouges que réelement roux, lui tombant jusque dans le dos en meches eparses. Ses habits etaient toujours les memes et Maryse doutait qu'il en eu d'autres, il portait un manteau long bleu nuit avec un petit col, ouvert sur une chemise a jabot blanche, il avait un pantalon simple retenu par une ceinture de cuir et des bottes a bout férres.

C'est pas une apparence qu'aurait n'importe quel simple villageois. Mais c'etait un étanger et peut être que dans son pays c'était normal. Il y avait peut de voyageurs dans les contrées de la Confrérie. Peu étaient assez téméraires pour affronter les dangers d'un ailleurs inconnu. La Confrérie était très etendue et les voyageurs pouvaient tomber sur de très nombreux dangers. Maryse avait envie de poser cent mille questions a cet etranger. Elle guettait l'instant ou il sortirais de l'espace dédié aux chambre pour satisfaire sa curiosité, sa soif d'information. Les gens du village faisaient courir beaucoup du rumeurs négatives sur la jeune tenancière a cause de sa curiosité et beaucoup disaient qu'elle finirait comme la vielle Jo' un jour. En tyenadant l'oreille elle finit par entendre le pas lourd caractéristique de son hote, et le vit entrer dans son champ de vision. Elle lui fit un grand sourire, le plus beau qu'elle le pu. 

- Bonjour mr Marchen ! Bien dormi ?

- Oh c'était fort agréable je vous en remercie. Le confont d'un etablissement chauffé est exquis quand on a passé la plupart des nuits qui precedent a camper a la belle étoile...

- Au fait dites moi mr Marchen d'ou venez vous exactement.. Et puis qui etes vous ? Et pourquoi etre venus ici ?

Stanford sourit. Il adorait raconter des histoires, et son talent de conteur etait renomé. Il pris un ton grave et un air mystérieux. Il s'ssit juste en face de la jeune femme ses iris gris plantés dans ceux, noisette de Maryse. Tout cela faisait partie d'une certaine mise en scène. Il était de ces hommes qui aiment se donner du presitige par leurs récits épiques. 

- Je viens d'un pays très loin, par dela la mer... Un pays ou les humains sont les plus nombreux, qui s'appelle Wasmarn. peut etre a tu déja entendu parler de ces terres lointaines ou la magie décline, ou il n'y a plus de chamans. Je suis le fils d'un pianiste renomé de la bas, mais j avais soif d'aventures, et ce pays ne me satisfaisait plus. Rares étaient les gens croyant encore aux anciens cultes, a la magie et a la force des dieux. On commercait avec les elfes du Haut Faënor, et c'est sur leurs embarquations que je suis arrivé ici. Les guerriers elfes sont forts mais arrogants et ils ne voulaient pas avoir un humain a leur bord. De plus je ne suis pas des plus aptes a vaincre le danger. Avant d'arriver a la Confrérie je dus donc traverser les Contrées de Kar- Valera, la ou l'on dit que l'on trouve les monts de l'Hypérion. J'ai croisé des peuples barbares qui acceptèrent de m'ecorter contre un peu d'or, puis je suis passé par d'anciennes mines que les forgerons nains avaient quittés et qui étaient hantées par les goules. J'ai bien cru que j'allait y laisser ma peau... Alors quand je suis arrivé au Havre de paix qu'est la Confrérie j était fort satisfait. sauf que recemment j'ai entendu parler d'une affaire pendant que j'ai traversé la vilel. a ce qu'il paraitrait, des Templiers du Styx seraient dans la région ? Je ne peux pas quitter cette ville avant d'en savoir plus sur eux, ces guerriers sont fascinant, vous savez pourquoi ils sont la ?

- D'apres ce qu'ils ont dit ils cherchent leur maitre... je ne craint pas pouvoir vous en dire plus... mais au fait, pourquoi aviez vous choisi mon auberge en particulier ?

- C'est votre enseigne, cet ouroboros d'argent qui m'a particulièrement inspiré... Croyez vous aux signes ?

Elle acquiesa, ne sachant pas trop quoi répondre. Il tira alors de sous sa chemise un medaillon qui pendait autour d'une chaine qu'il portait autour du cou. La tenanciere retient un hoquet de surprise. Le medaillon representait la meme chose que l'enseigne de l'auberge...
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MessageSujet: Re: Une petite fic   Une petite fic EmptyDim 30 Juin - 22:06

Cela ne puvais pas être... Maryse resta un moment en arret avant qu'il range le medaillon. Cela aurait il un rapport avec la chamane qui avait proposé ce même embleme a son père ? On dit que les chamans peuvent voir l'avenir. Alors rencontrer cet homme faisait surement partie de son destin. Elle suivait des yeux ses moindres gestes, la maniere soigneuse avec laquelle il rangeait le medaillon sous sa chemise. Tout a coup la porte de l'auberge claqua violement. Cinq cavaliers vetus de noir entrerent. Une croix inversée rouge leur servait d'emblème. Des démons mineurs les escortaient, souillant le lieu paisible. La majorité des clients s'enfuirent en poussant des cris des terreurs. Les terribles cavaliers les ignorèrent. Des templiers du Styx. La logique voudrait que quelqu'un irai appeller un lyaderen. Les Templiers avaient l'interdiction formelle de penetrer dans l'une des villes de la Confrérie. Dans l'auberge il ne restait plus que les cinq cavaliers des tenebres, la jeune tenanciere et l'etranger aux cheveux de feu.

Stanford tremblait legerement et ne s'etait pas retourné et n'avait pas bougé en les entendant arriver. Maryse s'etait recquevillée derrière le comptoir dans l'espoir qu'on ne la voie pas. elle n'avait qu'une envie : fuir. Mais elle ne pouvait pas se resoudre a abandonner tout ce qui lui restait a savoir cette taverne. Elle etait intriguée par l'attitude de chacune des personnes presentes dans cette salle. Pourquoi les Templiers n'avaient ils attaqué personne ? Pourquoi Stan n'avait il pas tenté de fuir. D'apres ce qu'on disait des templiers ils etaient puissants et sanguinaires alors que gagnait il a rester ?

- Tu as assez fuis... Decides tu de te rendre enfin a notre jugement et de te livrer a notre maitre ?

Les Templiers en avaient après son hôte. Comment cela se faisait il ? Un homme si charmant et sans tache, se faire remarquer auprès de telles brutes. Elle se redressa pour voir la scène. Il avait fait volte face vers les avaliers un rictus moqueur aux levres, si terrible qu'il en defformait presque ses traits; il n'etait pas le même homme que celui avec lequel elle avait parlé un instant plus tôt.

- Moi ? Suivre des chiens comme vous ? Si il était mon couard, votre maitre, il viendrais lui même des enfers pour venir me chercher. Que vous soyez cinq ou une armée, vos chances de l'emporter sur moi sont faibles, voire dérisoires. Par contre notre petite entrevue va attirer beacoup de spectateurs, et j'ai pas envie de casser quoi que ce soit dans cet endroit charmant donc je propose qu'on se batte dehors pour ne décevoir personne. Toi le petit sbire montre le chemin aux autres, sinon ils vont pas trouver ou est la sortie...

Hautain, il passa entre les Templiers abasourdis et ouvrit la porte pour sortir. Dehors il y avait deja un immense atrouppement, les gens n'ayant pas attendu pour venir vérifier eux memes les dires de leurs voisins. Même le lyaderen etait la dans son habit nacré, comme aux premieres loges du terrible affrontement. Maryse sortit a leur suite et se mela a la foudre, saluant la brillante initiative de son client d'un regard approbateur. C'est alors que le rouquin continuant a marcher trop loin au gout du chef de la petite troupe se fit ratrapper par les cheveux par l'un des cavaliers a la poigne solide. Il protestait et tout le mon se tournait vers le lyaderen attendant son action, attendant qu'il combatte ces representants du Chaos, quand ledit chef leva la main et cria d'un voix forte.

- Ne vous dressez pas contre nous. Nous allons agir dans l'interet de tous, débarasser le monde d'une vermine. Ce monstre que vous voyez la malgré son apparence n'est pas humain ! Et je vais vous en approrter la preuve !

Stanford ne se debattait pas beaucoup et semblait plus amusé qu'autre chose par la mise en scène. Il attendait la suite des evenements l'air habitué par ce genre de tournure. Le colosse qu'était le chef des cavaliers lui arracha violement le bandeau blanc qui masquait la partie de son visage ou aurait du se trouver son oeil droit. Il ecarta alors ses paupières l'empechant de fermer son oeil droit, devoilant un iris gris comem l'autre mais dépourvu de pupille. A la place tronait un pentagramme inversé marqué de nombreux signes runiques. Ce motif representé dans de nombreux grimoires de magie comme étant le symbole du mal. Les villageois eurent un movement de recul en voyant cet chose n'ayant existé de mémoire d'homme que dans les légendes. L'oeil du Diable. Le lyaderen ne savait plus qui attaquer. D'un coté les serviteurs du Chaos avérés qui étaient les ennemis que la Confrérie, de l'autre, cet homem étrange portant sur lui le symbole du diable. ce combat le depassait. Stanford eclatat d'un affreux ricanement rauque, empreint d'une certaine folie, la folie de ceux qi n'ont plus peur de rien, même de la mort. 

Les curieux partirent, eux mêmes depassés par les evenements. Ils ressentaient une peur imcomprehensible, indescriptible au fond d'eux, les evenements ne se déroulaient pas de manière normale et chacun ressentait que ca ne derangerait aucun des belligerant de faucher quelques vies supplementaires. La rue se retrouva vite déserte. Maryse restait au pas de la porte de son auberge, préocupée. Son hote lui avait menti. Il était quelque chose de bien plus terrible que ce qu'il semblait être cela se voyait a son assurance et a son aura qui se faisait de plus en plus menacante.

Le templier avait du mal a maintenir sa proie, il glissait comme une aguille entre ses mains, porté par le courant d'une sombre folie. L'energie sombre pulsait dans son corps et corrompait sa psyché, et il finit par se reprendre, refouler les pulsions meurtieres qui commencaient a l'agiter, faire bouillir son sang. Finalement, le colosse reussit a le plaquer au sol. L'un de ses acolytes leve son épée eyt la pointa vers son coeur pendant que le chef déclamait d'une voix grave.

- Toi, rénégat des enfers, je te condamne a passer sous le jugement divin de Lucifer notre maitre. Puisses ton ame retrouver la voie des ombres... Satan...
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